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Nos Conseils

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Comment bien utiliser sa motopompe SDMO ?

Pour la première et avant chaque utilisation de votre motopompe, il y a quelques contrôles à faire : Faire l’appoint en carburant Faire l’appoint en huile Installer et vérifier les tuyaux (attention aux prises d’air) Démarrage de la motopompe : Mettre la crépine dans le liquide à aspirer Ouvrir le bouchon de remplissage Remplir la pompe d’eau avant de revisser Ouvrir le robinet de carburant Placer la tirette sur ON Mettre le levier des gaz à 1/3 du MINI Mettre le connecteur sur ON Tirer la poignée du lanceur Placer la tirette sur OFF

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Comment démarrer son groupe électrogène WORMS

Pour s’assurer du bon fonctionnement de votre groupe électrogène, il y a quelques étapes clés à ne pas manquer qui sont les mêmes pour tous les groupes électrogènes WORMS : Il s’agit dans un premier temps de s’assurer que le groupe électrogène sois couper, sur une surface plate et stable. En suite on procéde à la vérification du niveau d’huile. Le niveau d’huile maximum doit se trouver au deuxième trait du bouchon d’huile sans le viser. Si ce n’est pas le cas remplissez le réservoir Vous devez aussi vérifier le niveau du carburant et refaire le plein si besoin. Si votre groupe électrogène est équipé d’un réservoir a refroidissement vérifier le niveau et faite l’appoint si besoin. Maintenant que les niveaux sont faits, il faut vérifier qu’il n’y ait pas de fuite de carburant et d’huile, que tout est bien serrer et qu’il n’y ait pas de pièce de casser ou endommager. Une fois les vérifications faites vous pouvez procéder au démarrage, en suivant les étapes suivantes : Placer le commutateur sur le « I » (ON) Ouvrez le robinet de carburant Tirer la manette du starter à fond Mettre la clé de contact en position START Quand le moteur tourne placer le starter sur « ouvert »

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Comment bien démarrer son groupe électrogène SDMO lors de la première utilisation ?

Pour la première utilisation de votre groupe électrogène, nous vous conseillons de retirer la bride de transport qui se trouve sous le moteur, prés de la borne de mise à terre, il s’agit d’une plaque métallique. Pour retirer la plaque, soulever légèrement le groupe électrogène pour retirer l’écrou et la bride. Les étapes du démarrage électrique : Remplir le réservoir de carburant Remplir en huile jusqu’au niveau préconisé Ouvrir le robinet de carburant du moteur Raccorder les fils à la batterie Tourner la clé Les étapes du démarrage manuel : Remplir le réservoir de carburant Remplir en huile jusqu’au niveau préconisé Placer l’interrupteur sur ON Ouvrir le robinet de carburant du moteur Placer la tirette du starter sur ON Tirer sur la poignée du lanceur Placer la tirette du starter sur OFF Pensez à vous référer au manuel d’utilisation et d’entretien de votre groupe électrogène.

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Comment bien utiliser son groupe de soudage SDMO ?

Votre groupe de soudage à la même fonctionnalité qu’un groupe électrogène mais avec la possibilité de souder en plus. Pour la première utilisation de votre groupe de soudage, nous vous conseillons de retirer la bride de transport qui se trouve sous le moteur, près de la borne mise à terre, il s’agit d’une plaque métallique. Pour retirer la plaque, soulever légèrement le groupe de soudage pour retirer l’écrou et la bride Pour démarrer votre groupe de soudage, il vous faut procéder à quelques étapes : Démarrage électrique : Remplir le réservoir de carburant Remplir le réservoir d’huile Ouvrir le robinet de carburant Raccorder les fils à la batterie Tourné la clé Démarrage manuel : Remplir le réservoir de carburant Remplir le réservoir d’huile Positionner l’interrupteur sur ON Ouvrir le robinet de carburant Mettre la tirette sur ON Tirer le lanceur Mettre la tirette sur OFF Pour pouvoir souder effectuer les étapes suivantes : Connecter la fiche du câble de masse dans la cosse femelle « – » Connecter le câble de masse à la pièce à souder. Connecter la fiche du câble du porte électrode dans la cosse femelle « + » Sélectionner la gamme de soudage sur le sélecteur Sélectionner l’intensité de soudage sur le commutateur Souder

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Comment choisir une clé à choc ?

Nos conseils pour choisir la bonne clé à chocs Les clés à chocs pneumatiques, appelée aussi boulonneuse/déboulonneuse, outil indispensable au garagiste automobile. Elle est conçue pour visser et dévisser écrous et vis grâce à un apport d’air comprimé fourni par un compresseur et aussi grâce un mécanisme de frappe composé principalement d’un moteur, d’une enclume, d’un impacteur et d’un ressort. La clé à choc est l’outil pneumatique portatif utile aux mécaniciens pour des serrages de fort couple, pour démonter vos roues de voiture lorsque vous faites changer vos pneumatiques ou vos plaquettes de frein. Conçue pour un serrage d’approche, toute tâche demandant de la précision doit être finalisée avec une clé dynamométrique – serrage de culasse. Pour ne pas avoir une déboulonneuse par diamètre de boulon, ses douilles sont interchangeables. Ingénieux ! Quelles sont les caractéristiques d’une clé à chocs pneumatique ? Une clé à choc pneumatique se choisit sur différents critères dont les deux principaux sont le couple de serrage fourni et le nombre d’impacts. Le couple de serrage : Le couple se mesure en Newton-mètre, cette valeur représentative de la force de serrage sont tributaires les actions de boulonnage et déboulonnage. Pour vous donner une idée, un goujon de roue se serre à environ 120 Nm (Newton mètre) Pour ne pas casser les têtes de ces fameux goujons, consultez les tableaux de couples de serrage constructeur, pour mieux cerner votre besoin et les couples nécessaires – relatifs au diamètre. Le nombre d’impacts : Le nombre d’impacts détermine la rapidité d’exécution du serrage. Plus son nombre est élevé, plus la déboulonneuse impacte la vis ou l’écrou pour son desserrage. D’autres critères permettent de parfaire son choix comme : Le poids de l’outil pour une meilleure maniabilité ; Le revêtement de la déboulonneuse ; L’ergonomie de sa poignée ; La vitesse de rotation relative à la fréquence de frappe ; Le niveau sonore exprimé en décibels (dB) ; Le réglage de puissance pour s’adapter aux différents boulonnages ; Une gâchette progressive ; Le couple de décollement force maximum de desserrage ; Un déflecteur d’échappement d’air pour éviter les projections vers l’utilisateur. La boulonneuse fonctionnant grâce à un apport d’air fourni par un compresseur, il est absolument nécessaire de combiner l’apport d’énergie avec les besoins de l’outil. Pour cela, il convient d’être vigilant sur les régles suivantes pour un compresseur : Le débit d’air est défini par la puissance du moteur du compresseur: 1 cheval piston = 5 m³/h.. L’alimentation électrique: monophasée, triphasée ou thermique ? La nuisance sonore du compresseur: voisinage ou pas ? Pensez en fonction des tâches que vous avez à effectuer et des préconisations de serrage à retenir le bon couple sans quoi, votre clé à choc peut être sur ou sous-dimensionnée et c’est la casse ou la frustration !

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Quel marteau piqueur choisir ?

Pour gagner du temps, un marteau piqueur est l’arme idéale pour casser béton-pierre-brique sur le chantier. Mais pneumatique, thermique ou électrique. Un marteau piqueur est un outil proposant un système de burinage offrant une puissance de percussion capable de démolir à moindre effort. Cet appareil est utilisé dans de nombreux domaines : Gros œuvre dans le bâtiment pour casser dalles de béton ou murs, façonner des tranchées ; Dans les travaux publics pour démolir et creuser la chaussée ; La sculpture et taille de pierre pour l’artiste qui sommeille en vous ; Pour l’extraction minière et les carrières. Par leur conception, ils sont plus performants à puissance équivalente qu’un perforateur ayant la fonction burinage. Précision et maniabilité sont accrues. Cet appareil est muni de poignées et constitué d’un corps cylindrique équipé d’un piston capable de marteler à haute vitesse et forte puissance. Le piston peut être armé de différents outils : pointe, burin, spatule afin de s’adapter à vos besoins. Le choix d’un marteau piqueur démolisseur dépend de l’utilisation, du matériau à démolir et de la fréquence d’utilisation. Les principaux critères de sélection sont la vitesse de percussion (en coups par minute) et la force de frappe (en Joules). Une vitesse de percussion de 1 400 à 1 800 coups par minute est un bon compromis pour la plupart des travaux courants. Pour ce qui est de la force de frappe, cela dépend du poids de la machine : plus c’est lourd, plus ça cogne fort. Regardez par exemple les différents marteaux : les petits modèles sont maniables et précis, alors que les gros permettent de taper fort pour casser. C’est la même chose, il vous faut adapter votre appareil à l’utilisation que vous en aurez. Par abus de langage, les marteaux piqueurs sont donc classés selon leur poids (en kg). Ce qu’il y a de bien avec les marteaux piqueurs, c’est que taille rime avec puissance et capacité à démolir. Il existe trois grandes catégories : pneumatique, thermique ou électrique. Les modèles pneumatiques sont les plus puissants mais aussi bien souvent les plus lourds. On les appelle pneumatiques car ils nécessitent un compresseur d’air. C’est effectivement l’air qui vient actionner le piston. Leur usage est réservé au très gros œuvre et aux travaux publics… pour les professionnels donc. Plus vous opterez pour un modèle puissant, plus celui-ci aura besoin d’air donc d’un compresseur capable de fournir le débit d’air suffisant. Ce point augmente considérablement le budget des marteaux piqueurs pneumatiques. Leur utilisation est sans limite (eau, température…) tant que le compresseur peut l’alimenter. Les modèles thermiques sont principalement utilisés dans les travaux publics. Ils sont très lourds et bruyants même sans percussion à cause du moteur qui actionne le piston. Bien évidemment, le moteur nécessite un entretien. Les gaz d’échappements font qu’il est à réserver pour un usage en extérieur. Les modèles électriques sont les plus répandus et polyvalents. Que vous souhaitiez casser votre vieille cheminée ou transformer une fenêtre en baie vitrée, il y a forcément un modèle pour vous. Ici le piston est entraîné par un moteur électrique de conception proche de celui d’une perceuse. Attention, il faut proscrire l’électrique si vous envisagez de casser quelque chose en milieu humide. C’est un peu comme choisir sa voiture ! Si vous voulez quelque chose de maniable, capable de passer partout et léger, prenez un petit modèle alliant légèreté et maniabilité. Un modèle jusqu’à 5 kg est suffisamment puissant et léger pour de petits travaux d’installation ou encore pour faire sauter le carrelage mural de votre salle de bain. Cependant si vous envisagez de casser des murs en béton armé ou encore de casser une dalle, il vous faut diriger votre choix vers un plus gros modèle capable de délivrer une force de frappe allant jusque 20 kg. En revanche, si vous voulez démolir la chaussée d’un coup de colère ou si vous venez d’acquérir une carrière, privilégiez un modèle pneumatique avec une puissance supérieure à 110 Joules. Pour les plus téméraires, il existe même des pelleteuses avec un marteau piqueur. Ces derniers modèles sont principalement utilisés pour les activités de destruction d’immeuble, terrassement ou extraction minière. Pour les modèles portatifs, le standard est le SDS-Max. Avec ce système de fixation, un outil de marque lambda peut s’adapter sur un marteau piqueur de marque beta sans aucun souci. Une mallette de transport peut également être fournie avec certains modèles ; elle permet de ranger non seulement le marteau piqueur mais également quelques accessoires : burins, câble, protection… Maintenant pour les outils, il y en a pour tous les goûts, toutes les tailles et toutes les formes selon ce que vous voulez faire. Bien entendu ! Tout d’abord, attention à l’eau si vous utilisez un modèle électrique. Pensez à votre sécurité ! Lorsque vous travaillez avec votre marteau piquer, à force de buriner, certaines parties du marteau piqueur peuvent atteindre des températures largement supérieures à 100°C, prenez soin de porter des vêtements adaptés ainsi que des gants pour vous éviter des brûlures en cas de contact avec ces parties lors de la manipulation de l’appareil. Selon le matériau démoli, des projections et poussières peuvent être produites : là encore, protégez-vous : lunettes ou écran de protection, masque anti-poussière, casque antibruit, casque de protection, mais pas seulement, portez des chaussures de sécurité, pour éviter bien des accidents.

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